samedi, 02 décembre 2006
Retour au nouvel hyper de Rodez
Cette fois-ci, je ne suis passé par l'hyper que pour acheter le cd deux titres Fous ta cagoule... Ben oui, on a les pratiques culturelles que l'on peut. Après, je suis allé fourrer mon nez chez le marchand de journaux. En réalité, c'est une maison de la presse, à l'image de celle qui se trouve au centre-ville de Rodez. Les rayons sont donc fournis et on y est vite à l'étroit. Par contre, on est presque sûr de trouver la revue que l'on cherche.
Ensuite, j'ai pris la direction du bout de la gallerie marchande, où se trouve le Flunch. Cela ressemble à d'autres Flunch (comme celui du centre de Toulouse) : les légumes sont à volonté, les toilettes sont propres et on prévoit son plat chaud en caisse. Par contre, ici, on fait la queue pour choisir hors-d'oeuvres, fromages, desserts et boissons (quand on ne se contente pas de l'eau de la fontaine, qui est gratuite) dans une file qui mène aux caisses. Attention aux embouteillages... Bon, pour 12 euros, je me suis offert un demi-avocat au thon et citron, un steak (que j'ai accompagné de frites, ma foi très bonnes), du Saint-Marcellin (avec du pain, tiens !) et un part de flan. D'accord, j'ai mangé comme un goret mais
1° J'avais peu mangé à midi
2° J'avais très faim
3° Je suis assez grand donc y a de la carcasse à nourrir
4° Je vous emmerde.
Beaucoup de gens profitent du menu express ou se contentent d'un plat chaud en comptant sur les légumes à volonté. Pratique quand on n'a pas trop de thunes, mais pas très équilibré tout cela.
Je plains toujours les serveuses (ce sont presque tout le temps des femmes... ici, comme pour me faire mentir, il y a un homme dans le lot, mais ce n'est pas le plus efficace), pressées de débarrasser les tables : la "philosophie" Flunch déresponsabilise les clients (c'est démago quand même) qui, du coup, ne font pas le moindre effort pour faciliter la tâche des employés. Il n'est quand même pas compliqué de faire un peu le ménage sur sa propre table (par exemple en regroupant les plateaux et les assiettes) !
17:05 Publié dans Aveyron, mon amour, Economie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : de tout et de rien
Les commentaires sont fermés.