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mercredi, 19 mars 2025

The Monkey

   On nous annonce un film adaptant une nouvelle de Stephen King, par le réalisateur de Longlegs... donc on pense horreur et épouvante... et cela a trompé une partie du public. Certes, on a droit à son content de scènes violentes, avec hémoglobine, décapitation, amputation, étripage, explosion, perforations diverses et variées... mais c'est surtout drôle !

   Cela fonctionne parce que les comédiens se sont bien investis dans cette comédie horrifique et parce que les effets spéciaux sont très corrects. En revanche, l'histoire des frères jumeaux tout comme la relation père-fils sont totalement inintéressants.

   J'ai toutefois apprécié le tableau d'une Amérique de l'envers, celle des zones reculées de Nouvelle-Angleterre (dans le Maine notamment), où la concentration en demeurés semble particulièrement élevée.

   Le début du film nous cueille avec la scène du magasin, durant laquelle on découvre le pouvoir diabolique du fameux singe musicien dont il ne faut surtout pas dire qu'il est un jouet. La suite est un long retour en arrière, en deux parties, avec d'abord l'enfance des héros, puis, alors qu'ils pensent être débarrassés de l'objet maléfique, le retour de celui-ci quand ils sont devenus trentenaires. Parmi les morts croquignolesques, je recommande celle de l'oncle des gamins (lors d'une partie de chasse), celle de la baigneuse (dans le Motel)... et celle d'un personnage que je ne peux pas ouvertement désigner (pour ménager l'effet de surprise). Je vous dirai juste que cela se passe dans une voiture et que cela implique un nid de frelons...

   C'est un plaisir coupable d'1h30 environ, pour amateurs du genre.

16:17 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, cinema, film, films

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