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mercredi, 02 novembre 2011

Une chanson de circonstance

   Aujourd'hui 2 novembre nous rendons hommage aux morts... chacun à notre manière. (Il y a même de fortes chances que cet hommage ait été rendu hier 1er novembre, jour de tous les saints, qui a l'avantage d'être férié.)

   L'auteure-compositrice-interprète GiedRé, qui a sorti un épatant CdVd l'été dernier, a marqué le coup à sa manière... très particulière.

   Sur Youtube (et sur son profil Facebook) a été récemment mis en ligne un nouveau titre : Le ver de terre.

   Bonne écoute...

samedi, 08 octobre 2011

Du gros, du land... du Groland !

   L'émission du samedi 8 octobre foisonne de trouvailles. Après un rapide hommage à feu Steve Jobs, on démarre par un reportage de Gustave de Kervern, qui a trouvé quelqu'un capable de prédire sans risque d'erreur le résultat de la primaire socialiste :

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   On continue avec un entretien avec l'épouse (enceinte) du président du Groland, Carlita, qui raconte par le détail combien son cher et tendre est expert en botanique... ta mère !

   Le coeur de l'émission est occupé par un fait divers, lié à la chasse. Les amateurs verront comme une parenté avec le célèbre sketch des Inconnus, où il est question de galinette cendrée. Mais l'équipe de Groland pousse le bouchon encore plus loin...

   Vient ensuite une page culturelle, qui traite du changement de dessinateur de la BD Astérix. Un Grolandais serait pressenti, dont le talent paraît évident :

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   Lui succède un sujet de société : doit-on ou non bannir le terme de "mademoiselle" du français courant, pour cause de sexisme ? C'est une nouvelle recrue du journal, Elsa Barrère, qui s'y colle, avec un tact et une délicatesse qui n'ont rien à envier à ceux de ses collègues masculins...

   On passe alors à un peu de théâtre, avec une nouvelle étoile montante de la scène francophone : Johnny.

   Arrive enfin Michael Kael, qui s'est penché sur le phénomène Autolib', auquel, à la stupeur générale, il adhère complètement, pour des raisons très particulières...

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   Le ton devient encore plus sardonique avec le sujet consacré à la musique industrielle et à ses procédés de fabrication. Cela nous mène à un petit jeu : sur l'image suivante, où se trouve le seul véritable chanteur ?

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   Que l'on se rassure : l'équipe de Groland ne se laisse pas toujours happer par la facilité. Ainsi Francis Kuntz semble avoir beaucoup payé de sa personne pour enquêter, de manière approfondie, sur l'affaire DSK :

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   Un peu plus loin, on découvre aussi, en avant-première, quelques images d'un film consacré à un homme de médias des plus connus, Patrick Poivron-d'Accord (soupçonné de plagiats) : L'Homme qui pompait celle qui le pompait.

   Si toutes ces émotions vous ont donné soif, la fine équipe de Canal + vous propose de l'étancher avec une nouvelle boisson d'origine animale :

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dimanche, 18 septembre 2011

Le régime de rentrée de "Groland.con"

   L'émission diffusée samedi 17 septembre était particulièrement riche en réflexions de haute tenue. Cela a commencé par un sujet sur le 11 septembre 2001 (Moustic s'est emmêlé les pinceaux sur l'année), s'achevant par un cri du coeur du président de la présipauté : "Pas de fout-la-merde au Groland !"

   Ensuite, le stagiaire le plus vieux du monde, Francky Ki, nous a proposé un reportage passionnant sur "le labo du grand con", un endroit dédié à l'amour des pauvres...

   Puis est venue une page culturelle, cinématographique même, consacrée à la sortie quasi simultanée et confraternelle de deux nouvelles versions de La Guerre des boutons. Il est sans doute plus intéressant de visionner un entretien accordé par Yves Robert au moment de la sortie de son adaptation du roman de Louis Pergaud, en 1962.

   On a enchaîné ensuite avec la revue de presse de la présidentielle française... façon Groland. Excellent !

   Enfin est venu Michael Kael, avec une exclusivité : la preuve qu'avec l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, les livraisons de valises de billets d'Afrique ont cessé. Je vous laisse imaginer le type d'argument qu'il a utilisé :

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   Autre vedette du "jité" grolandais, Francis Kuntz nous a ensuite donné son sentiment sur Fukushima et le reste de l'actualité... avec le sens des priorités éthiques qu'on lui connaît.

   Moins riant, un sujet a été consacré à un secteur frappé par la crise et lié à l'essor des télévisions à écran plat :

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   Et puis est arrivé le docteur Pi, toujours plein de bon sens. Il nous a gratifié de conseils pertinents pour retrouver une ligne "normale". Pour cela, il convient de prendre soin de son ventre... à l'aide de beurre :

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   Pour la poitrine, l'éminent praticien à la main leste recommande plutôt la crème fraîche :

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   Enfin, un peu à la surprise générale, pour les fesses, il a puisé dans la gastronomie sarthoise :

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jeudi, 27 janvier 2011

Le monde d'Albert Kahn

   La chaîne de télévision Arte vient de rediffuser une passionnante série documentaire, Le monde d'Albert Kahn, consacrée notamment aux photographies (en couleurs !) prises dans la première moitié du XXe siècle, par des opérateurs payés par un riche mécène français. (Précisons que c'est la chaîne britannique BBC, et pas un média hexagonal, qui a produit la chose...)

   Cette série est découpée en neuf parties d'environ 45 minutes. On y trouve des perles. Ainsi, le cinquième épisode, qui traite de la vie des civils français pendant la première guerre mondiale, nous permet de découvrir les rues de Paris comme on les a peu vues. La place des Pyramides (où se trouve la célèbre statue de Jeanne d'Arc de Fremiet) est ainsi montrée à deux occasions. On sera étonné d'apprendre que la Croix rouge américaine y avait installé ses locaux :

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   On est moins surpris qu'elle soit le théâtre de manifestations de liesse après la signature de l'Armistice du 11 novembre 1918, les drapeaux états-uniens et français étant associés, sur la statue même :

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   Ceci dit, je ne la trouve pas si emballante que cela, cette statue. Tout chauvinisme mis à part, je pense que la plus belle représentation de la Pucelle en armes se trouve dans un charmant petit village aveyronnais, Sainte-Eulalie-d'Olt :

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   On peut la voir à côté de la chapelle, au niveau du monument aux morts. Je suis bien conscient qu'il y a peu de chances qu'elle soit fidèle à l'original (je suis d'avis que le sculpteur a préféré s'inspirer des formes d'un "petit canon" de son époque plutôt que de la plastique supposée de la véritable Jeanne...), mais Dieu qu'elle est belle !

   Un autre intérêt de la série est de montrer les progrès de la photographie et de la cinématographie de l'Entre-deux-guerres. Dans le sixième volet, on peut voir de stupéfiantes images tournées à l'aide d'une caméra associée à un microscope :

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   Autre innovation : la vision de l'éclosion des fleurs en accéléré :

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   Si vous êtes aveyronnais, ou si vous avez une solide culture cinéphilique, ces deux éléments doivent évoquer ce qui est sans doute le premier documentaire-fiction de l'histoire : Farrebique, de Georges Rouquier. Et donc, 20 ans avant ce fabuleux film, les opérateurs travaillant pour Albert Kahn ont joué un rôle pionnier.

   Signalons, pour terminer, qu'un site internet est dédié à l'univers d'Albert Kahn, qui ne se limite pas aux photographies et aux films.

samedi, 18 décembre 2010

Une drôle de bestiole dans "NCIS"

   J'aime vraiment cette série, pas seulement pour l'originalité des enquêtes policières, en fait surtout pour l'esprit qui règne dans cette équipe composée de personnalités très affirmées, tendance frappadingue.

   Depuis une dizaine d'années, il y a eu du progrès dans la conception des séries télévisées. Les scénaristes et réalisateurs poussent même parfois le vice jusqu'à insérer des détails croustillants ou des clins d'oeil comiques dans certaines scènes. Ainsi, il y a un peu plus d'un mois, j'avais relevé la présence à l'écran d'un string furtif en pleine scène d'action.

   Dans l'épisode diffusé vendredi soir sur M6 (le dix-huitième de la saison 7), il est, au départ, question du décès d'un plongeur des Marines, dont on pense avoir découvert le cadavre sur une plage de Virginie. L'équipe d'enquêteurs se déplace donc sur la côte Atlantique (pas très éloignée de leur Q.G. de Washington, il faut dire). Ils commencent l'examen de la scène de crime... mais, à l'arrière-plan, surgit quelque chose d'inattendu :

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   Il s'agit sans doute d'un dauphin, dont le mouvement gracieux a attiré l'attention du médecin-légiste, "Ducky" (interprété par David McCallum... oui, l'ancien "homme invisible"), qui se détourne de la scène pour observer l'océan, pendant que tous les autres acteurs sont concentrés sur l'examen du cadavre.

   Il me semble que cette intrusion est involontaire parce qu'elle est presque indiscernable et qu'elle n'est absolument pas prise en compte dans le déroulement de l'action.

   P.S.

   Pour les amoureux de la série : cet épisode voit l'arrivée d'un "Gibbs au féminin" (une charmante personne, ma foi), qui porte le même prénom que l'experte-labo : Abigail (Aby !). Au cours de l'épisode, on remarque d'ailleurs plusieurs clins d'oeil : la tape derrière la tête, l'autre laborantine du CGIS, qui m'a l'air de valoir celle du NCIS... Bref, une enquête savoureuse.

samedi, 04 décembre 2010

Une pizza mondialisée

   L'heure du repas approchant,, quelques conseils nutritionnels peuvent ne pas être inutiles. C'est là qu'intervient la joyeuse équipe de Canal + : le coffret Groland recèle des trésors, dont ce reportage culinaire intitulé "Pizza 12".

   Contrairement à ce que le titre pourrait laisser croire, il n'est pas question de l'Aveyron dans cet extrait... et heureusement !

   Cette mini-fiction a fait des émules et, sur la Toile, on peut trouver une vidéo plagiant 7 jours au Groland. De petits farceurs interprètent les rôles du chef d'entreprise, du client, de l'opérateur téléphonique, de la cuisinière, du fils de celle-ci et des livreurs. Ce n'est pas un calque total, mais presque tout y est. C'est là qu'on s'aperçoit que, si les jeunes s'en sortent plutôt bien dans le jeu d'acteur, la voix off est nettement moins bonne que celle de l'émission télévisée.

samedi, 30 octobre 2010

Un string furtif ?

   J'aime bien la série NCIS, diffusée en France par la chaîne M6 et dont on peut revoir les épisodes grâce à la télévision de rattrapage, sur M6 Replay. (On peut aussi passer par le site généraliste tv-replay, qui succède à tvarevoir, ou par replay.fr, peut-être plus complet mais moins ergonomique, à mon avis.) 

   Aujourd'hui, j'étais en train de visionner l'épisode 4 de la saison 5, vers la fin, lorsque, pendant une scène de lutte (ou des agents de sexe féminin s'illustrent), il m'a semblé entrapercevoir un petit quelque chose :

String Ziva.jpg

   Je me suis repassé l'extrait à plusieurs reprises et il me semble bien que Cote de Pablo, qui incarne l'agent du Mossad Ziva David, est vêtue d'un pantalon taille basse et d'un haut assez court, ce qui fait qu'en cas de mouvement brusque du bassin, le risque de découvrir le bas du dos (et le haut des fesses) est grand.

   Bon, moi je dis ça, hein, mais c'est Abby qui me plaît le plus dans la série !

samedi, 23 octobre 2010

Traces de pneu

   Non, non, bande d'esprits scabreux, il ne va pas être question des marques qui déshonorent parfois le fond de certains caleçons. Je me suis penché sur la mercatique récente des principaux fabricants de pneumatiques, à savoir Goodyear-Dunlop, Michelin, Bridgestone-Firestone, Pirelli et Continental.

   Mon attention a été attirée par un article paru dans Le Canard enchaîné du jeudi 14 octobre 2010, intitulé "Dégonflés d'écolos !" :

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   Je me suis donc d'abord rendu sur le site de Goodyear dédié à cette nouvelle campagne, faussement écolo dirons les mauvaises langues. On peut y découvrir 6 personnages, dont 5 franchement caricaturaux. On a ainsi donné du boulot à quelques intermittents du spectacle... en ridiculisant les comportements écolos purs et durs. Une fois sur la page d'accueil, il faut cliquer sur chaque personnage pour accéder à son petit sketch. Le monsieur bien habillé, qui représente la marque, est là pour dire le Vrai, le Bien, le Beau.

   Si après cela vous n'en avez pas marre, allez regarder dans le menu en haut à droite, et choisissez "La Good web TV". Cela donne accès à 11 petits films dénigrant successivement l'écolo altermondialiste (le film n'a pas été tourné en français), les amateurs de Jackass, un skieur nautique et un skater plutôt virtuoses, un mécano qui croit pouvoir tout bien faire par lui-même, un bureaucrate pointilleux, une executive woman forcément nulle en mécanique... et une obèse. C'est assez malsain, parce qu'il est difficile d'y voir réellement du second degré.

   Certains spots sont par contre assez réussis : celui avec la grand-mère roulant en marche arrière, celui avec le morse (drôle mais pas très porteur pour la marque, à mon avis) et surtout (mon préféré) celui mettant en scène deux jeunes amoureux, se terminant par un délicieux slogan ("Ne laissez pas une crevaison gâcher votre journée").

   Mais que font les concurrents ? Ils jouent un peu sur le même registre : les pneus de nouvelle génération font faire des économies de carburant, et donc protègent notre belle planète. Michelin recourt évidemment à son personnage Bibendum, transformé en héros de dessin animé. Bridgestone nous la joue produit de haute technologie (ça, c'est les Japonais, que voulez-vous), un peu comme Pirelli, qui fait quand même pâle figure à côté.

   Reste Continental, qui a trouvé un autre créneau : la coupe du monde de football. L'argument utilisé est un classique de la communication des groupes de pneumatiques : la sécurité, l'efficacité du produit qui, chez les autres marques, est aujourd'hui complété par le souci environnemental. On verra si cela perdure...

vendredi, 01 octobre 2010

Deux-trois trucs sympas à faire au musée Denys-Puech

   Ce musée est, à l'heure actuelle, le principal lieu d'exposition des oeuvres d'art contemporain (des XIXe, XXe et XXe siècles) à Rodez (et dans l'Aveyron). Au passage, on peut noter que sa construction a été en partie financée par l'artiste qui lui a donné, en plus de ses oeuvres, son nom (Soulages, gros radin !), ainsi que par une contribution de la cantatrice Emma Calvé.

   Au rez-de-chaussée se trouvent des oeuvres du sculpteur, d'un peintre local et du photographe et dessinateur Eugène Viala. Ceux qui aiment à se divertir s'intéresseront aux deux sculptures évoquant la ville de Paris, la plus spectaculaire se trouvant au fond, à gauche. Regardez bien les monuments représentés. Ne trouvez-vous pas qu'il en manque un, disons, emblématique ?

   A l'étage sont placées les expositions temporaires, d'un intérêt inégal.

   La perle se trouve au sous-sol. Non, je ne parle pas des toilettes ! Il s'agit d'une petite salle de projection, où l'on s'assoit (se vautre) dans l'un des deux grands et voluptueux coussins. Si l'on a pris soin de fermer les rideaux derrière soi, on se retrouve enveloppé par les ténèbres... Il faut alors saisir la manette wii (ouiiii !), pour déplacer sur l'écran les photographies qui apparaissent... et se révèlent être de courtes séquences vidéo, qui ne sont pas sans lien les unes avec les autres.

   Les changements s'effectuent au fur et à mesure que l'on fait s'entrechoquer, s'entrecroiser, s'éloigner les vignettes vidéo. Voilà pour l'activité physique. Mais le cerveau ne reste pas inactif, puisque le jeu consiste à trouver les liens qui unissent les deux, trois ou quatre séquences proposées à l'écran. 

   Au bout d'un moment, si l'on fatigue, on peut se contenter de végéter sur le coussin : la musique d'accompagnement est douce, reposante et, l'obscurité aidant, on peut même piquer un roupillon !

   Bref, j'étais venu un peu en traînant les pieds et je suis reparti enchanté !

jeudi, 03 juin 2010

"Profilage", saison 2

   Cette série policière d'un genre particulier est donc de retour sur TF1. La première saison n'a pas duré très longtemps... mais on peut y regoûter progressivement, puisque chaque semaine, les deux nouveaux épisodes sont suivis d'une rediffusion de la première saison. (La première scène de Sans rémission est ainsi un petit délice -pas d'une éblouissante nouveauté, mais cela passe très bien- avec ce dialogue étrange en présence d'un chien, qui a l'air fort compréhensif. C'est l'une des raisons qui me font aimer cette série : ces moments de comédie légère, juste avant ou après une séquence plus "corsée".)

   On retrouve ce qui faisait le charme de la série l'an passé : bons scenarii (des polars avec fond psychologique où l'on ménage moult rebondissements), bons acteurs, personnages bien définis, avec ce commandant très carré, sa subordonnée aussi (qui est peut-être secrètement amoureuse de lui), le spécialiste des nouvelles technologies très djeunse, le médecin-légiste distingué et surtout la psychologue aux tenues abracadabrantesques (les chaussures horribles, mais je kiffe les collants)... sans oublier ce commissaire étonnamment proche de la jeune femme. Le tout est servi dans un bel écrin : le centre de Paris.

   On a fait évoluer les relations entre les personnages. C'est du passé de Chloé Saint-Laurent qu'il est question. On va finir par apprendre son vrai nom et une partie de son histoire. Des pistes scénaristiques sont ouvertes. Comme on voit la psy enseigner en fac, je sens qu'une histoire glauque va apparaître avec un étudiant pas tout net dans sa tête. Surtout, se "profile" à l'horizon quelque chose que j'avais senti venir dès la première saison : une relation particulière entre la psychologue criminelle et l'enquêteur viril. On nous y prépare doucement avec un adultère dont je ne parlerai pas et un rapprochement entre deux personnages.