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samedi, 04 décembre 2010

Une pizza mondialisée

   L'heure du repas approchant,, quelques conseils nutritionnels peuvent ne pas être inutiles. C'est là qu'intervient la joyeuse équipe de Canal + : le coffret Groland recèle des trésors, dont ce reportage culinaire intitulé "Pizza 12".

   Contrairement à ce que le titre pourrait laisser croire, il n'est pas question de l'Aveyron dans cet extrait... et heureusement !

   Cette mini-fiction a fait des émules et, sur la Toile, on peut trouver une vidéo plagiant 7 jours au Groland. De petits farceurs interprètent les rôles du chef d'entreprise, du client, de l'opérateur téléphonique, de la cuisinière, du fils de celle-ci et des livreurs. Ce n'est pas un calque total, mais presque tout y est. C'est là qu'on s'aperçoit que, si les jeunes s'en sortent plutôt bien dans le jeu d'acteur, la voix off est nettement moins bonne que celle de l'émission télévisée.

vendredi, 03 décembre 2010

"Tripote-moi la bite avec les doigts"

   Non, non, rassurez-vous, je ne suis pas en train de lancer un appel désespéré ! Je viens  juste de regarder quelques extraits du coffret Groland dont j'ai causé il y a peu. Du coup, je rigole comme un con devant mon écran. Je découvre parfois des séquences inédites, mais, le plus souvent, je revois avec plaisir des moments truculents.

   Parmi ceux-ci, il y a une parodie d'Elton John, qui se termine en chanson paillarde.

   En creusant un peu, je suis tombé sur la version complète de la chanson, interprétée (en live, avec ses tripes) par Mano Solo

   Pour une interpétation plus classique, on peur se tourner vers Dodone.

dimanche, 28 novembre 2010

Groland story

   Je me suis récemment offert le "coffret Groland", contenant trois DVD, un global, retraçant 15 ans de déconne de la joyeuse équipe sur Canal +, les deux autres consacrés au 20h20, émission qui réussit l'exploit de (presque) faire oublier le JTN et L'Emission des Nuls.

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   Dans le premier DVD figurent des extraits de toutes les saisons, quel que soit le nom porté par l'émission : Les Nouvelles, CANAL international, Le 20h20, Grolandsat, 7 jours au Groland.

   J'ai tendance à penser que le sommet a été atteint avec la dernière émission (et la suivante, absente du DVD, Groland Mag'zine) mais on y voit moins le reporter de l'impossible, l'inénarrable Michael Kael, dont les apparitions me font toujours tordre de rire. Ce premier DVD est donc l'occasion de revoir ses exploits, parmi tant d'âneries et de mauvais goût revendiqués.

   L'émission Le 20h20 parodiait à la fois Le 19/20 de France 3 et le journal de 13h de Jean-Pierre Pernaut, à travers des brèves dont le sujet était aussi anecdotique que le commentaire scabreux... et à travers les reportages toujours très orientés (et d'une beauferie assumée fort réjouissante) de l'enfoiré de service, j'ai nommé Francis Kuntz.

   Si, après plus de cinq heures de visionnage, vous n'en avez toujours pas assez, il faut vous tourner vers les précédents DVD. Il y a quelques années, j'avais fait l'acquisition d'un autre coffret, contenant une méga compil' de Grolandsat (2h40 de pur bonheur) et, pour les amateurs de drogue dure, Michael Kael, la totale, avec plus de deux heures de reportages plus dingues les uns que les autres et, en bonus, le film Michael Kael contre la World News Company, que je fus sans doute l'un des rares à aller voir en salle lors de sa sortie et qui, bien que moins réussi que les sketches courts, vaut bien mieux que ce qu'en a dit la critique aigrie. (Beaucoup ont sauté sur l'occasion pour se venger de l'image du journalisme que l'équipe véhiculait dans ses productions télévisées. Au-delà de la farce, il est question de l'éthique journalistique, un sujet sur lequel les professionnels, prompts à donner des leçons, sont assez chatouilleux...)

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   Tous ces DVD, les anciens comme les récents, contiennent quelques perles dans les bonus, par exemple le commentaire de l'image du journaliste roupillant à l'arrière-plan, derrière Jules-Edouard Moustic, dans Le 20h20.

   L'aventure Groland continue, à travers Groland.con, toujours diffusé sur Canal +, en clair, le samedi soir.

 

vendredi, 29 octobre 2010

Le pire de Hara Kiri

   C'est le titre d'un recueil qui vient de paraître aux éditions hoëbeke. Les quelques textes rédigés par de grands anciens (Cavanna, Wolinski, Delfeil de Ton, Jackie Berroyer, Jean-Marie Gourio) encadrent une floppée de photographies, soit des photomontages, soit des mises en scène, le tout étant d'une grossièreté clairement assumée. L'objectif de ces créations, qui ne sont pas toute jeunes (cela remonte aux années 1960-1985), est de susciter un rire franc, en brisant les tabous de l'époque. 

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   Si les documents sont présentés globalement de manière chronologique, on pourrait les classer d'une autre façon, en trois grands thèmes. Il y a tout d'abord l'humour noir, qui se rit de la mort, de la torture :

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   J'ai trouvé qu'à l'approche de Toussaint, cette fausse publicité (hé oui, Hara Kiri a inspiré nombre d'humoristes audiovisuels contemporains qui, diront les mauvaises langues, ont pillé sans vergogne le journal satirique, sans forcément reconnaître leur dette...) était fort à propos.

   A cet humour noir s'ajoute le scabreux, le pipi-caca, le potache quoi. Les exemples sont extrêmement nombreux dans le livre...

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   Enfin, il y a tout ce qui touche au sexe (au sens large). Comme Hara Kiri était surtout un journal de mecs, ce sont les femmes, leur anatomie, qui sont le plus souvent représentées, même s'il est aussi question de bites et de couilles. Voici un exemple édulcoré :

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   Cerise sur le gâteau : dans le livre sont insérées des fiches détachables, qui permettent de se constituer une carte, comme la "carte bleue TOUT A L'OEIL", la "carte officielle de CON", la "carte officielle de MAL BAISEE", la "carte de FLIC"... Le dos de ces cartes réserve quelques surprises. Ainsi, la "carte nationale d'EGOISTE" est illustrée de citations profondes (et authentiques, cela va sans dire), comme "Va crever dans ta cour" (de "Ma concierge"), "Le sage n'a pas mal au ventre quand le voisin a la colique" (une pensée méconnue de Confucius) ou encore "Mieux vaut crever d'indigestion que de partager son boudin" (de Monsieur Olida). Sinon, le dos de la plupart des cartes est à compléter. (Hé, oui ! C'est interactif !) L'exemple le plus subtil est celui de la "carte officielle de MAL BAISEE", où une grille est surmontée du texte suivant : "Chaque fois que votre baiseur attitré vous baise mal, cochez une case. Quand la carte sera remplie, vous pourrez concourir pour le titre mondial de Miss Mal Baisée."

   Bon, voilà, il y en a pour un peu moins de 200 pages de déconne, dans un joli format, luxueux (cela coûte quand même 30 euros... un cadeau à faire pour la Toussaint ?)... et, ô surprise, quand on regarde tout à la fin, avant la quatrième de couverture, on découvre que le livre a été imprimé en Chine ! Voilà qui me laisse perplexe.

mercredi, 15 septembre 2010

Un tableau d'affichage"soulagien" ?

   La scène s'est passée ce lundi. C'était l'heure de la pause café. Dans un hall, je croise un collègue, posté devant un tableau d'affichage. Oui, vous savez, ces machins sur lesquels des mains malveillantes viennent fixer des tas de trucs inintéressants, dans ce genre :

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   Sauf que là, ce lundi matin, il n'y avait rien. Nous sommes tous deux restés muets quelques secondes devant cette chose immaculée. Soudain, mon collègue, très caustique, me déclare :

- C'est une sorte d'anti-Soulages.

- Oui, de l'outre-blanc, lui répondis-je, plein d'à propos... Mais c'est moins pratique, plus salissant.

   Du coup, nous nous sommes demandés s'il ne serait pas plus hygiénique de remplacer ces horribles tableaux par les oeuvres du chantre de l'outre-noir...

mardi, 11 mai 2010

Bienvenue à Paris

   Je viens de découvrir ça en zappant sur NRJ. Il s'agit d'une parodie du "tube" d'Alicia Keys et Jay Z, "Empire state of mind", par l'équipe de MIKL. (Ouais, je sais, son émission, c'est pas du haut niveau, il passe des auditeurs qui racontent parfois vraiment n'importe quoi, à côté, les mecs de Skyrock c'est limite France Culture...)

   A la base, le "tube" ricain est un hymne à New York, chanté par un joli brin de femme (qui a de la voix) et un gros blaireau en bonnet avec lunettes de soleil (mais il paraît qu'il fait dans l'humanitaire). Attention, le clip est vraiment naze, malgré les images léchées de la métropole by night.

   La parodie française s'intitule donc "Bienvenue à Paris". C'est du quinzième degré, tout le monde en prend pour son grade. Cela m'a rappelé les meilleures heures du Festival Roblès.  J'ai aussi trouvé une version illustrée de la chanson, l'internaute ayant tenté de superposer les paroles à des images... Amusez-vous à compter les fautes de français !

01:05 Publié dans Musique, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, chanson, paris, humour

lundi, 03 mai 2010

La catin, le vautour et le blaireau

Damoiselle Catin, au corps mince et formé

Soutenue par Vautour, muni des bonnes clés

Dans un joli palais trouva moyen d'entrer

Pour assouvir Blaireau, qui s'en laissa coûter.

 

Dans son nid parisien, Vautour le magnifique

Rêve de briller dans la lucarne magique.

Il y fit figurer damoiselle Catin

Qui fort se déhancha, médiatique tapin

Sous un zodiacal nom qui n'était pas le sien.

 

Pauvre petit Blaireau, son désir assouvi

Réalise trop tard que la catin mineur(e)

Lui coûtera moins que Femme de footballeur

Et que ses burnes, même vides

Paraissent plus que sa tête remplies.

 Henri Cool de Source

dimanche, 21 mars 2010

La déontologie façon Canal +

   J'aime bien Canal +, le ton décalé que certaines émissions cultivent... même si leur côté "branchouille" est parfois agaçant. L'un des rendez-vous phares est l'émission de Thierry Ardisson, Salut les Terriens ! Samedi 20 mars, Stéphane Guillon n'était pas là que pour sa chronique hebdomadaire, il était aussi invité en tant qu'acteur du film Le Temps de la kermesse est terminé.

   Ce long métrage est sorti mercredi 17 mars et, à mon avis, il ne doit pas très bien marcher. C'est peut-être la raison pour laquelle les deux acteurs principaux ont été invités. Mais il sort tellement de films (plus de 10 en moyenne) chaque semaine... alors pourquoi celui-là ? Parce qu'il est particulièrement bon ? Parce qu'il est fait par des potes ?

   Finalement, alors qu'il est de bon ton de se moquer du service public, en particulier de France 2, lorsque cette chaîne a organisé une émission pour la sortie de La Rafle, on nous a épargné la faute de goût qui aurait consisté à nous montrer Marie Drucker interrogeant son petit ami Gad Elmaleh.

mercredi, 24 février 2010

Toujours un oeil sur les "Guignols de l'info"

   A plusieurs reprises déjà, j'ai pointé quelques insuffisances dans le maniement des marionnettes de la célèbre émission satirique, sans que toutefois cela nuise réellement à sa qualité : les auteurs sont toujours aussi inspirés.

   D'un point de vue technique, par rapport au mois dernier, cela s'est amélioré, me semble-t-il. Je n'ai plus remarqué les petites imperfections et, même dans l'encadré noir, où apparaissent d'autres personnages, censés dialoguer à distance avec le présentateur, les manipulateurs habillés de sombre sont redevenus quasiment invisibles.

   Mais, ce soir, un petit détail a attiré mon attention :

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   Regardez bien derrière la marionnette de Patrick Sébastien. On voit que sa veste est découpée au niveau du milieu du dos, puisque des pans se soulèvent et on peut entrapercevoir un chtit morceau du manipulateur. (La scène est au demeurant très réussie, tant sur le plan comique que sur le fond : la convivialité "à l'ancienne" opposée à la technophilie béate.)

jeudi, 04 février 2010

Rions un peu avec Oussama ben Laden

   2016. Aux Etats-Unis, Barack Obama semble achever son second mandat. En France... ben je vous laisse le soin de découvrir qui préside. Au Pakistan, l'armée américaine met enfin la main sur un célèbre barbu grisonnant (euh, non, pas le Père Noël). Emmené en Irak (tiens, les Américains y sont encore ?!), soumis à un interrogatoire, Oussama ben Laden va raconter sa vie. Ses "confessions", subjectives, alternent avec les moments "objectifs", qui permettent aux auteurs (le journaliste Mohamed Sifaoui et le dessinateur Philippe Bercovici) de brosser le tableau d'une époque.

   Car il s'agit d'une bande dessinée, assez bonne ma foi :

Ben Laden BD.jpg

   L'histoire alterne entre l'époque de la vie de ben Laden qui est racontée et le présent de la narration (en 2016). Cela se veut à la fois un ouvrage historique (auquel il a été reproché une série d'approximations) et une oeuvre satirique, dont les Occidentaux comme les intégristes ne sortent pas grandis.

   L'humour fait souvent mouche, mais le récit est parfois simpliste (peut-être pour toucher le grand public). On voit à peu près où les auteurs veulent en venir : dénoncer la bêtise et le fanatisme, quelles que soient les formes qu'ils prennent. Ce n'est finalement pas si mal vu.

   En complément, j'ai récemment découvert en intégralité le reportage réalisé par les frères Jules et Gédéon Naudet. Ils suivaient la vie d'une unité de pompiers new-yorkais depuis plusieurs mois déjà (en s'attachant tout particulièrement aux premiers pas du nouveau membre) lorsqu'ils se sont retrouvés en plein coeur de l'événement :

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 Le DVD du film 11/09 contient, en bonus, de longs entretiens réalisés avec les figures marquantes de la caserne (fait extraordinaire : alors que nombre de leurs collègues sont morts dans les tours, tous ceux de cette équipe sont revenus vivants).

   Pour l'anecdote, c'est par accident que l'un des deux frères (Jules) a filmé, au cours d'une intervention à propos d'une fuite de gaz, le premier avion au moment où il a percuté la tour Nord :

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   Bien évidemment, le film mérite le détour pour d'autres raisons que son lien avec cet événement marquant... mais il est toujours piquant de constater à quel point ce sont souvent les documents inattendus qui sont les plus riches.

mercredi, 27 janvier 2010

Toujours attentif aux "Guignols de l'info"

   Les auteurs restent en grande forme, comme en témoigne l'émission de ce mardi 26 janvier. Les voix sont elles aussi toujours très réussies. C'est au niveau de la manipulation des marionnettes que je continue à repérer, de temps à autre, quelques imperfections.

   Il y a celles qui sont inévitables : il est impossible de rendre totalement invisibles les accessoiristes, mêmes vêtus de noir. Mais aujourd'hui, le choix d'accompagner le personnage de Tim Burton (le vrai allant bientôt présider le jury du festival de Cannes) d'émanations de fumée a rendu les manipulateurs encore plus visibles :

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   Je pense toutefois que leur travail doit être encore plus difficile que celui de leurs collègues placés sous le bureau. Ceux-ci me semblent un peu plus coutumiers des maladresses. Exceptionnellement aujourd'hui, c'est le personnage de PPD qui en a souffert :

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   A deux reprises, ce qui ressemble au sommet d'une casquette est apparu à l'écran (très discrètement cette fois-ci... mais ma capture d'écran ne coïncide pas avec le moment où c'est le plus visible). Voici la deuxième occurrence, qui suit de peu la première :

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vendredi, 15 janvier 2010

Un coup de mou aux "Guignols de l'info" ?

   Rassurez-vous, il ne s'agit pas du contenu de l'émission, toujours aussi roboratif. Le problème est la forme. J'y ai déjà fait allusion il y a quelques jours. Oh, je ne suis pas en quête de perfection. Le téléspectateur attentif que je suis a depuis longtemps appris à repérer les mouvements d'ombres dans la fenêtre où paraissent les interlocuteurs distants du présentateur P.P.D.

    C'est au niveau de la manipulation de la marionnette de l'invité-plateau que des maladresses sont apparues. Ainsi, ce vendredi 15 janvier, on pouvait distinguer le haut de la tête de l'un des manipulateurs du Nikos Aliagas de latex :

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   Vous me direz : faut vraiment bien regarder (et cliquer sur l'image pour la voir en totalité). Après tout, on peut très bien confondre la touffe de cheveux qui dépasse avec le rebord de la table. Certes, mais cela s'est agravé :

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   Si vous êtes attentifs, vous noterez qu'à la touffe de cheveux sommitale s'est ajouté un morceau de l'avant bras, qui s'enfonce dans la marionnette. Mais le pire est à venir :

Nikos 3.jpg

   Là, on voit tout ! C'est précisément cette bourde qui m'a incité à revisionner la séquence et permis de remarquer la série de maladresses.

jeudi, 07 janvier 2010

Une petite erreur de manip' aux Guignols

   Cela a peut-être échappé à nombre de téléspectateurs, mais, lors de l'émission de mercredi 6 janvier 2010, vers la fin, une maladresse inhabituelle est intervenue dans la prestation des marionnettistes des Guignols de l'info de Canal +.

   Je ne me suis pas rendu compte immédiatement de ce que je venais de voir. J'avais juste été frappé par un mouvement étrange. Cela s'est passé pendant que PPD discutait avec Michel Denisot du texto envoyé, pendant le direct du Grand Journal, par François Fillon à Jean-Michel Apathie. Sur le côté de l'écran, on pouvait voir ceci (il faut cliquer sur l'image pour la voir en entier) :

 

Guignols 06 01 2010.jpg

   Il s'agissait de la marionnette d'Eric Cantona, que l'on avait vue lors de la séquence précédente (très réussie, soit dit en passant), et que des manipulateurs peu inspirés ont fait ressurgir (très brièvement) dans le champ des caméras.

 

23:18 Publié dans Télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, humour

lundi, 14 décembre 2009

Stéphane Guillon a-t-il son bac S ?

   C'est juste une question en passant... parce qu'il nous a gratifiés d'une belle bourde historico-cinématographique, ce matin. Muriel Cousin, sa compagne, qui relit ses sketches, paraît-il (et qui serait passée par hypokhâgne et Sciences Po, tout de même) n'y peut-être aussi vu que du feu. Mais de quoi s'agit-il ?

   Dans sa chronique consacrée à la santé de Johnny Hallyday, Guillon fait référence à l'excellent film de Robert Altman, Mash... sauf qu'il en situe l'action pendant la guerre du Vietnam (1964-1973)... au lieu de la guerre de Corée (1950-1953). Vous me direz, l'erreur est compréhensible, puisque le film, sorti en 1970, a été tourné avec d'évidentes arrière-pensées.

   Même si l'humoriste a un passé de cancre (qu'il sait habilement mettre en valeur, comme par exemple chez Mireille Dumas), cette bourde, commise par quelqu'un qui, quelques jours auparavant, défendait le maintien de l'histoire-géographie en Terminale S, fait un peu tache.